Généalogie successorale
Naissance d’un métier
Apparue dans la première moitié du 19e siècle, la profession de généalogiste répondait à un besoin des notaires de pouvoir identifier tous les ayants droits légitimes d’une succession, notamment dans un contexte de familles nombreuses. L’évolution socio-économique, l’exode rural, les mouvements d’immigration ont en effet conduit à un plus grand dispersement des cellules familiales, autrefois cantonnées à un village, une ville ou une région. Notre travail consiste donc à reconstituer un tableau familial en s’appuyant sur les nombreuses sources d’archives à notre disposition. Près de 15 000 successions nécessitent chaque année l’intervention d’un généalogiste successoral.
Les Sources
- L’Etat-civil
- Les archives départementales
- Les archives municipales
- Les archives nationales
- Les archives militaires
- Les archives fiscales
Nos engagements
Toutes les missions du généalogiste professionnel nécessitent des accréditations et autorisations officielles, notamment auprès des archives de France et des tribunaux pour pouvoir consulter et collecter des actes d’Etat-civil de moins de 75 ans. Depuis ses origines, le métier de généalogiste successoral suit l’évolution démographique et les mouvements de population qui se sont accrus depuis la révolution industrielle et l’exode rural. Cela implique des recherches de plus en plus longues et complexes, notamment lorsqu’il s’agit de retrouver des personnes à l’étranger. Notre cabinet généalogique s’engage à informer de façon régulière ses mandataires et les héritiers qu’il représente sur les différents dossiers qu’il traite à l’année.